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24 janvier 2009 6 24 /01 /janvier /2009 09:47

Les échanges favorisent-ils la paix ?

 

Une chose est certaine : la guerre constitue un obstacle aux échanges. Mais la réciproque est-elle pour autant vraie ? On a pu dire que le commerce était une façon de perpétuer pacifiquement un rapport de forces. En effet, si l’on considère qu’il y a é à partir du moment où un individu fournit à un autre ce dont il a besoin, on peut penser que celui qui propose est en position de force par rapport à celui qui éprouve le besoin. En outre, les é permettent de développer des richesses : celui qui vend fait un profit sur celui qui achète. Au bout du compte, des différences très importantes peuvent se développer. Or les inégalités sont source de conflits. Les échanges favorisent-ils vraiment la paix ?

 

Questions à éclaircir : - de quelle paix parle-t-on ? De celle qui s’oppose à la guerre entre les nations voire les civilisations ? Ou de celle qui s’oppose aux conflits qui peuvent éclater au sein même d’une société ?

qu’est-ce qui s’é ? Seuls les biens et les services, i.e. ce qui a une valeur marchande, sont-ils susceptibles de faire l’objet d’é ?

 

  1. La paix constitue certes la condition des é, mais les é ne conduisent-ils pas au contraire au conflit ?

a. Concurrence et heurt des intérêts. On peut peser ici à l’analyse qu’a donnée Marx de la loi d’airain que la concurrence impose à la société et que le système économique fait peser sur les travailleurs. Pour que qqn puisse vendre, il faut qu’il produise moins cher que son concurrent, il devra alors augmenter la productivité du travail par sa division de + en + poussée et en diminuant sans cesse les coûts. De son côté, le travailleur, pour vendre sa capacité de travail devra la proposer au meilleur marché. + notion de guerre économique.

c. Accroissement des inégalités -> tension au sein des sociétés. Dans cette perspective, l'échange et le système de production qu’il nécessite conduit, sinon à un conflit ouvert au sein de la société, mais à la création d’antagonismes forts entre les différents groupes sociaux (ceux qui possèdent l’instrument de travail et l’argent nécessaire à l’investissement préalable à la production) et ceux qui ne disposent que de la force de leur bras (les « prolétaires »). C’est ce que Marx nomme la lutte des classes : elle instaure un climat conflictuel qui peut dégénérer en véritable guerre civile cf. les révolutions, « les événements » plus ou moins violents voire meurtriers.

b. Impérialisme -> guerre ouverte ou froide entre les Etats. On pourrait également concevoir cette logique d’affrontement au niveau supérieur.

 

  1. Comment concevoir que les échangent favorisent la paix ?

a. Précision du rapport que nécessite l’é. L’é ne se caractérise pas essentiellement par l’appas du gain et n’est pas simplement le vol par la constitution du profit ou la spoliation de la force de travail, ce à quoi semble se réduire l’é au sens où nous l’avons utilisé précédemment. Sans nier que le besoin soit le ciment de la société et que l’é économique soit son fondement –ce qui est contestable mais que nous prenons ici comme prérequis- il est possible de reconnaître, avec Aristote, que dans l’é se trouve une « commune mesure » qui implique un rapport de réciprocité entre les individus. Dans l’é, les individus sont associés, ce qui implique une égalité –non mathématique, il est vrai- entre les deux membres qui é .

b. dans la société : L’intérêt bien compris et « la main invisible »

c. Le même raisonnement peut être utiliser en ce qui concerne la relation entre différents pays : « Deux nations qui négocient ensemble se rendent réciproquement dépendantes ; si l’une a intérêt à acheter, l’autre a intérêt de vendre ; et toutes les unions sont fondées sur des besoins mutuels » Montesquieu, De l’esprit des lois

d. Les é adoucissent les mœurs : « Le Commerce guérit des préjugés destructeurs ; et c’est presque une règle générale, que partout où il y a du commerce, il y a des mœurs douces ; et que partout où il y a des mœurs douces, il y a du commerce. […] L’effet naturel du commerce est de porter à la paix. » idem

 

  1. Tout dépend de ce que l’on échange…

a. De l’é à la rencontre, de la rencontre au dialogue : échanger, ne serait-ce que des biens, obligent les individus à sortir de leur milieu habituel(famille, village/ville, région, pays) et à rencontrer d’autres individus qui leur sont totalement différents (en apparence du moins). On peut alors penser que ces individus vont aller plus loin qu’un simple é de marchandise et vont apprendre à mieux se connaître( ce qui est utile par ailleurs au commerce). Par conséquent cet é favorisera peut-être l’ouverture à l’autre et la tolérance.

b. Le plaisir de l’é. Cf . Lévi-Strauss : « l’é de politesse » in Les Structures élémentaires de la parenté. LV raconte l’anecdote des restaurants bon marché du Midi où les clients s’échangent leur ballon de piquette. Ici, personne ne gagne rien : « mais c’est qu’il y a bien plus dans l’é que les choses échangées ». On peut en effet espérer que l’intérêt ne soit pas le seul motif de l’action humaine et qu’il puisse trouver du plaisir dans le contact avec son semblable sans rien espérer de lui en contrepartie. Ex : l’amitié.

c. Il existe également un é qui, pour n’être parfaitement gratuit, ne se paie pas : les H partagent des symboles. Cf . étymologie. L’H se caractérise en effet par  l’univers dans lequel il évolue par l’esprit : lorsqu’il achète de l’eau, il n’achète pas simplement des molécules H2O, il acquiert de la jeunesse, de la pureté, de la santé, de la minceur… Derrière l’objet se trouve un symbole, lequel peut s’échanger sans pour autant qu’il y ait é d’objet. Pensons à l’idée de justice, de droits de l’homme et de toutes les valeurs que les H se transmettent. Cf. LV : les 3 modes de la communication sociale, Anthropologie structurale.

 

 

 

     

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24 janvier 2009 6 24 /01 /janvier /2009 09:43

Peut-on regretter que le temps passe?


Question incongrue en effet, tant il est évident que le temps constitue la marque de notre faiblesse. Le temps, en s'écoulant, nous rapproche inexorablement d'une fin que nous savons inévitable. Il est dans son écoulement même la preuve que nous ne sommes pas omnipotents : nous pouvons tout maîtriser (la nature et notre nature), mais en aucune manière nous ne pouvons ne serait-ce que ralentir la flèche du temps. Par son irréversibilité, il fait que nos actes sont définitifs et qu'il est impossible d'en éviter les conséquences. Il semble bien que tout soit à regretter dans le fait que le temps passe et que rien ne demeure.

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24 janvier 2009 6 24 /01 /janvier /2009 09:42

Texte de , La condition de l'Homme moderne.
Voici l'extrait :
 
Quoi que nous fassions nous sommes censés le faire pour "gagner notre vie" ; tel est le verdict de la société, et le nombre des gens, des professionnels en particulier, qui pourraient protester a diminué très rapidement. La seule exception que consente la société concerne l'artiste qui, à strictement parler, est le dernier "ouvrier" dans une société du travail. La même tendance à rabaisser toutes les activités sérieuses au statut du gagne pain se manifeste dans les plus récentes théories du travail, qui, presque unanimement, définissent le travail comme le contraire du jeu. En conséquence, toutes les activités sérieuses, quels qu'en soient les résultats, reçoivent le nom de travail et toute activité qui n'est nécessaire ni à la vie de l'individu ni au processus vital de la société est rangée parmi les amusements. Dans ces théories qui, en répercutant au niveau théorique l'opinion courante d'une société de travail, la durcissent et la conduisent à ses extrêmes, il ne reste même plus l' "oeuvre" de l'artiste : elle se dissout dans le jeu, elle perd son sens pour le monde. On a le sentiment que l'amusement de l'artiste remplit la même fonction dans le processus vital de travail de la société que le tennis ou les passe temps dans la vie de l'individu. [...] Au point de vue du "gagne-pain" toute activité qui n'est pas liée au travail devient un "passe temps".

Travail préparatoire :
Voici mes premières impressions sur ce texte :
    Le thème serait d'abord le travail, les loisirs. L'auteur n'accepte pas l'idée qu'un travail est le contraire de jeu(PAS VRAIMENT), elle donne l'exemple de l'artiste, qui "s'amuse(RAIT)" mais en meme temps qui exerce un métier (ICI N‘EST PAS LA QUESTION. QU’ENTENDEZ-VOUS PAR METIER? NE CONFONDEZ PAS M2TIER ET TRAVAIL).
    - L'auteur pense aussi que le travail ne se limite pas à une activité (A CE QU L’ON CONSIDERE COMME) serieuse, sa définition devrait etre beaucoup plus général.(IL VA FALLOIR TROUVER CETTE DEFINITION)
- Je pense que le texte se découpe en 2 parties , mais c'est assez dur à dire (EN EFFET. MAIS CE N4EST PAS TJRS LE PLAN QUI EST IMPORTANT, MAIS PLUTOT LA MANIERE DONT PROCEDE L‘AUTEUR); la seconde partie serait à partir de "en conséquence". Dans la premiere partie, elle énonce la notion de travail, qui nous permet de gagner nore vie et n'est pas très divertissant(QUELLE EST SON ATTITUDE A L‘EGARD DE CETTE CONCEPTION : ELLE Y ADHERE OU A-T-ELLE UN REGARD PLUS DISTANCIE?), et dans la seconde partie, elle généralise(C’EST A  VOIR. NE FAIT-ELLE PAS QUE REPRENDRE LA MEME DEF EN LA PRECISANT?)en disant que toutes les activités sérieuses sont considérées comme des travaux et les autres activités sont des divertissements.
    - Pourquoi a-t-il été écrit? Pour peut etre remettre en cause la notion de travail(C‘EST SUR!), quelque chose de rébarbatif(çA L’EST MOINS) d'après la théorie(LAQUELLE?), et montrer qu'un travail peut etre amusant, comme celui de l'artiste qui s'amuse perpétuellement(NON! ATTENTION AU CONTRE SENS!). Je comprends le texte en général, mais mon probleme majeur est que j'ai tendance à trop raconter le texte(ET COMME VOUS LE REFORMULEZ, VOUS LE TRAHISSEZ), et à ne pas assez analyser(I.E. DECOMPOSER EN SES PARTIES, DISSEQUER), expliquer. Il m'arrive aussi d'oublier certaines notions majeures et de trop me focaliser sur les futilités (ATTENTION! RIEN N’EST FUTILE DANS UN TEXTE DE PHILO : TOUT A UNE UTILITE, LE PROBL7ME EST DE COMPRENDRE LAQUELLE) du texte. Merci d'avance pour votre aide,PS : Qu'est-ce que le mouvement du texte et son détail ?

Le thème et bien celui du travail et des loisirs. Il faut cependant être plus précis et mieux déterminer la position de l'auteur.
Il faut nettement souligner sa démarche ici : elle remet en question la conception la plus commune de ce qu'est le travail, laquelle conception oppose cette activité « sérieuse » au jeu et à l'amusement, ce qui reviendrait à ne considérer le travail de l'artiste, par exemple, que comme un pur divertissement, un simple loisir.
La difficulté est ci de définir précisément ce que l'auteur entend par travail : nous avons affaire ici à une critique dans laquelle on trouve en quelque sorte « en négatif »(comme on parlerait du négatif d'une photographie).

Soyons alors particulièrement attentif à la conception du t ici évoqué (c'est le mouvement du texte)

1. La définition du t qui fait l’objet de la critique de l’auteur :
- le travail est une activité dont la fin est de "gagner notre vie" . C’est un gagne-pain.
- il se définit par opposition au jeu
- seule est considérée comme un t, l’activité qui est nécessaire à la vie de l'individu et au processus vital de la société, indépendamment du résultats (biens  matériels ou services, certainement)
- il existe cependant des activités sociales qui ont une utilité sociale et qui ne constitue pas un travail : il s’agit du loisir.
Tel est la conception commune (et pourtant lourde de présupposés) de la notion de travail : il est aisé de l’expliquer, en faisant référence à la définition économique du t.

2. Vous remarquerez que l’auteur, par deux fois, fait référence à l’activité de l’artiste. A cette occasion, elle dit de lui qu’il est le « dernier » ouvrier et sous-entend qu’il produit une « oeuvre » (ce que l’on peut concéder facilement). Cependant, si la définition purement économique du t était recevable, alors l’artiste ne serait qu’une personne qui ne chercherait qu’à s’amuser, se divertir et son activité n’aurait pas plus de sens que celle d’un cadre qui va jouer au tennis ou au golf le dimanche. L’activité de l’artiste ne serait pas « sérieuse ». On conçoit parfaitement en quoi cette conception est contestable. Peut-être faut-il alors revoir la conception communément et majoritairement partagée de ce qu’est le t.


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20 janvier 2009 2 20 /01 /janvier /2009 08:45
Si vous avez besoin d'une aide spécifique, n'hésitez pas à demander. Adressez un message à l'adresse indiquée dans la page contact ou postez un commentaire.
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19 janvier 2009 1 19 /01 /janvier /2009 18:45

Texte de Hannah Arendt,La condition de l'Homme moderne. Début de l'élaboration de l'explication à partir d'un travail préparatoire.

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18 janvier 2009 7 18 /01 /janvier /2009 18:26

l'Etat est-il à craindre ou son absence ?

L’E apparaît bien souvent comme une contrainte souvent jugée insupportable par les citoyens dont il est pourtant chargé sinon d’assurer le bonheur, du moins une vie acceptable : il faut payer des impôts, respecter des règles qui semblent n’avoir aucune raison d’être, payer des amendes, accepter d’être condamné pour des infractions minimes, quand l’E n’envoie pas ses propres citoyens à la mort (guerre, peine capitale). Tout serait tellement plus facile si cette structure pesait moins, voire disparaissait. D’un autre côté, si l’E disparaissait, les pires dangers seraient imaginables : quelle autre instance serait susceptible de maintenir l’ordre nécessaire à la vie en commun ? qui pourrait empêcher que règne la loi du plus fort et permettre que les plus faibles soient défendus ? qui assurerait les libertés publiques ?…


  1. Peut-on concevoir des sociétés sans E ?

    1. des s sans E. L’E n’est pas indispensable à la s : la preuve en est qu’il existe des s, à l’organisation parfois très sophistiquée, qui ne connaisse pas de structure de nature politique. C’est ce que montre et analyse l’anthropologue Pierre Clastres.

pbl. : il s’agit de s primitives ou du moins « premières ».

  1.  
    1. l’argument anarchiste : l’individu est pourvu d’une valeur souveraine et comme les hommes sont naturellement bons, ils peuvent s’organiser librement en communauté + ou – étendue. Or l’E en imposant à l’individu une structure qui a pour but de l’étouffer a pour effet de détruire ce mouvement propre à l’h.

    2. l’argument ultra-libéral. Le rôle de l’E doit être le plus limité possible et l’idéal serait qu’il disparaisse ou du moins qu’il se contente d’être une instance de juridiction qui arbitrerait des conflits privés. L’individu est en effet par nature libre et rien ne doit venir entraver l’exercice de ce qui constitue son essence.


  1. Anarchie et ultra-libéralisme : la double impasse

    1. Dans un cas comme dans l’autre, il n’est pas difficile d’imaginer le chaos qui suivrait la stricte application de ces théories.

-Tout les tentatives d’instauration de l’anarchie (même à un niveau limité) se sont soldées par un échec –plus ou moins sanglant d’ailleurs (cf. anar russes).

-En ce qui concerne le libéralisme, même les systèmes qui s’en prévalent lui ont imposé des limites (cf. lois anti-trust au USA).

  1.  
    1. Toute s semble donc avoir besoin d’un E. Seule une autorité contraignante peut instaurer un ordre sans lequel aucune vie pleinement humaine n’est pensable. Cf. la conception de l’état de nature (Rousseau, Hobbes, Locke…).

    2. Conséquence d’une absence totale d’E : le droit du plus fort. Cf Rousseau


  1. Comment sortir de l’aporie?

    1. la nécessité de l’E : arbitre des intérêts particuliers s’opposant au sein de la société, détenteur légitime de la violence, garant de la paix et tranquillité civile.

-> la question est plutôt : quel E est-il à craindre ?

  1.  
    1. la solution de la souveraineté : si la pouvoir que détient l’E a pour origine la volonté du peuple, alors ce dernier l’acceptera et pourra supporter les contraintes qu’il fait peser sur lui. En outre il est possible d’établir un contre-poids à la toute puissance de l’E (cf. séparation des pouvoirs chez Montesquieu, notion de contre-pouvoir)

    2. pour une nouvelle idée de la démocratie : ici le pbl consiste à savoir comment l’E peut le plus adéquatement incarner la volonté du peuple qu’il est sensé servir. Cf ; notion de démocratie directe chez Arendt



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15 janvier 2009 4 15 /01 /janvier /2009 20:03

Plusieurs personnes me posent des questions concernant la méthode. Je crains qu'il n'y ait pas de recette miracle : en matière de réflexion, méfiez vous de ceux qui "savent" et prétendent donner une méthode toute faite.

L’attention de ceux qui s’interrogent se porte surtout sur la question du nombre de parties. Il ne faut pas en faire une question de principe : si votre démonstration se fait en 4 temps, faites 4 parties, si elle ne nécessite que 2 temps, n'en faites que deux.

Si vous avez besoin de consacrer une partie entière pour définir les termes du sujet, faites le : il vaut mieux que les concepts soient correctement élaborés plutôt qu’ils ne le soit pas du tout. C’est juste artificiel. En effet, je ne vois pas comment introduire la question et construire le problème - ce qui se fait dès l’introduction- sans avoir au préalable défini les termes du sujet. Sans définir, ne serait-ce que de façon minimale, comment introduire le sujet? En outre, le travail de conceptualisation se fait tout au long de la réflexion : il se peut qu’à l’occasion du développement de la pensée, il soit nécessaire de redéfinir les notions et le travail de la pensée devrait conduire à préciser le contenu du concept, quand il ne conduit pas à le revoir totalement. Si la conceptualisation stagne, à quoi bon réfléchir? C’est souvent en travaillant la définition du concept que l’on fait avancer les choses et parfois le problème ne se pose que parce que la définition couramment retenue n’est pas adéquate.


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8 janvier 2009 4 08 /01 /janvier /2009 20:22

Définition.

l'individu est « un tout anatomiquement isolé et fonctionnellement autonome ». Ramdaud

voilà qui répond bien aux caractères fondamentaux de l'individu biologique : il se présente comme un tout composé de parties mais ne peut être divisé puisque les éléments qui le composent ne sont pas juxtaposés mais organisés, de ce fait aucun d'eux ne peut être retranché de la totalité sans périr et sans que le fonctionnement du tout s'en trouve perturbé. Chaque fragment est indispensable à l'existence normale du tout et réciproquement aucune partie du tout ne saurait se comprendre sinon par relation à l'ensemble des autres parties. La racine n'existe que par rapport à la feuille ou à la tige, lesquels se détruisent dès lors qu'elles n'appartiennent plus à l'arbre. Idem pour les organes du corps.

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24 décembre 2008 3 24 /12 /décembre /2008 14:58
(article conservé pour les commentaires)
Ce blog est destiné à tous ceux qu'intéresse la philosophie et, en premier chef, ceux qui passent des examens ou concours.
Les rubriques en sont :

1. la philosophie : généralité

2. la philo au baccalauréat

3. la philo à la fac

4. la philo en classes prépa :
    a. littéraires
    b. scientifiques et commerciales : "les énigmes du moi"

5. les concours de l'enseignement

6. culture générale

Tous vos sujets de réflexion seront les bienvenus
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24 décembre 2008 3 24 /12 /décembre /2008 14:46

  Ne croit-on que par faiblesse ?

Faut- il opposer le désir et la raison ?

Avons-nous besoin de croyances pour être heureux ?

Ce que l'on dit traduit-il ce que l'on veut dire ?

L'artiste crée-t-il un autre monde ?

Peut-on ne pas faire de politique ?

Le vécu fait-il l'homme ?

Créer est-ce rompre avec la tradition ?

Quels sont les obstacles à la connaissance scientifique ?

Le travail est il un besoin ou un désir ?

La connaissance du passé peut-elle nous aider à comprendre le présent ?

Le beau a-t-il une valeur ?

Est-il raisonnable de penser que la nature poursuit des fins ?

La culture de la raison apporte-t-elle nécessairement le bonheur ?

Doit-on utiliser la violence pour faire respecter la loi ?

Est-il légitime de parler de beauté à propos des objets quotidiens ?

Evolution de la nature et histoire des hommes ?

En quel sens peut-on dire que la vérité scientifique est approximative ?

Quels problèmes pose l'existence du temps ?

Peut-on distinguer, et comment, la force de la violence ?

De l'inconscient au conscient,  y a-t-il continuité ou rupture ?

Pourquoi une science ne peut-elle être considérée comme un ensemble d'opinions ?

Expliquez et critiquez ce propos d'un sociologue contemporain: Nous concevons notre société moderne, dans son développement, non pas comme une société qui chasse le mythe pour la rationalité, mais qui suscite de nouveaux mythes et de nouvelles irrationalités ?

Existe-t-il une nature féminine ?

Qu'est-ce qu'un symbole ?

En quoi la majorité est-elle autorisée à imposer ses décisions à la minorité ?

Puis-je me connaître sans agir ?

L'innocence et l'ignorance ?

Pensez-vous que l'on puisse dire avec Nietzsche que: Nul bonheur, nulle sérénité, nulle espérance, nulle jouissance de l'instant présent ne pourraient exister sans faculté d'oubli ?

Peut-on apprendre à être juste ?

Y a-t-il une science de l'individuel ?

N'y a-t-il de violence que physique ?

La raison du meilleur est-elle toujours la plus forte ?

La connaissance est-elle un but ou un moyen ?

Vers quoi nous conduit le progrès scientifique ?

Acquérir et détenir un savoir, est-ce acquérir et détenir un pouvoir?

Toute action illégale est-elle une action injuste ?

L'exercice de la liberté doit-il être l'objet d'un apprentissage ?

Le commerce existerait-il si le vendeur et l'acheteur ne partageaient pas le sentiment d'en tirer l'un et l'autre profit ?

Les formes irrationnelles de la pensée ont-elles l'ignorance pour seule origine ?

Peut-on justifier un hiérarchie dans la société ?

L'utopie n'entretient-elle aucun lien avec la pratique ?

A quelles conditions peut-on faire confiance à un témoignage?

A-t-on le droit de changer d'avis ?

Le temps est-il ce par quoi toute chose devient périssables ou la dimension même dans laquelle les choses parviennent à l'accomplissement ?

La connaissance d'autrui est-elle compatible avec la reconnaissance de sa liberté ?

L'essence même de la réflexion, c'est de comprendre qu'on n'avait pas compris. Qu'en pensez-vous ?

Celui qui a des yeux pour voir et des oreilles pour entendre constate que les mortels ne peuvent cacher aucun secret, celui dont les lèvres se taisent bavarde avec le bout des doigts. Quelle réflexions ces lignes de Freud vous inspirent-elles ?

En quel sens peut-on parler de certitude scientifique ?

Peut-on refaire sa vie ?

Expliquez et discutez cette formule: Une théorie peut être vérifiée par l'expérience, mais aucun chemin ne mène de l'expérience à la création d'une théorie ?

Y a-t-il un bonheur sans conscience du bonheur ?

En quel sens peut-on dire que la parole est un outil ?

L'ordre des choses n'est-il que celui par lequel on les connaît ?

Que penser de cette formule de Paul Valéry: Deux dangers ne cessent de menacer le monde: l'ordre et le désordre ?

Si l'expérimentation a une fonction dans les sciences de la nature, qu'est-ce qui en tient lieu dans les sciences de l'homme ?

Diriez-vous comme Galilée que la nature est écrite en langage mathématique ?

A-t-on pleinement rendu compte du phénomène religieux lorsqu'on l'a expliqué par un certain état du développement historique d'une société ?

Entre l'inanimé et le vivant, la différence est-elle de nature ou de degré ?

Pourquoi le passé est-il sans cesse récrit par les historiens ?

Nous n'avons affaire, en parcourant le passé, si étendu qu'il soit, qu'au présent. Quelle conception de l'histoire cette formule implique-t-elle ?

Peut-on considérer comme vraie et comme scientifique une théorie dont on aurait aucun moyen de prouver la fausseté ?

Un esprit qui ne comprend pas les mathématiques est-il nécessairement sot ?

La diversité des langues s'oppose-t-elle à l'universalité de la pensée ?

Est-il vrai de dire que nos jugements nous jugent ?

Toutes les passions se valent-elles ?

En quel sens comprendre cette formule de Bachelard: Le véritable ordre de la nature, c'est l'ordre que nous mettons techniquement dans la nature ?

Expliquez et discutez ce jugement: La politique n'a pas pour fin la morale, mais la nécessité ?

Le fait d'envisager l'action humaine dans une perspective sociale et historique vous paraît-il entraîner une augmentation ou une diminution du sentiment de la responsabilité ?

Peut-il y avoir une morale des relations internationale ?

S'il y a des inégalités naturelles, la société doit-elle les admettre ou les compenser ?

Douter  de tout ou tout croire, ce sont deux solutions également commodes qui l'une et l'autre nous dispensent de réfléchir Que pensez-vous de cette formule ?

Que pensez-vous de cette formule de Machiavel: Les soulèvements d'un peuple libre sont rarement pernicieux à la liberté ?

La compétence suffit-elle à faire un grand homme d'Etat ?

L'activité scientifique doit-elle toujours donner raison aux faits ?

Que pensez-vous de cette remarque de Bergson: Notre esprit a une irrésistible tendance à considérer comme plus claire l'idée qui lui sert le plus souvent ?

La solidarité dans l'effort social réclame-t-elle l'uniformité des opinions ?

La moralité est-elle conformisme social ?

Faut-il des hiérarchies ?

Peut-on vouloir librement mourir ?

Qu'est ce qu'être conscient de quelque chose ?

Le dialogue nous libère-t-il de la solitude ?

Les hommes doivent ils sacrifier leur liberté pour etre heureux ?

Devrait-on appeler le Ministère de la culture le Ministère des cultures ?

A quelles conditions peut-on dire la vérité ? (Pistes de réflexion)

Le vivant est ce l'esprit qui emerge de la matière ?

Faut Il Considérer La Foi Comme Un Esclavage ?

Pourquoi l'homme accorde-t-il de l'importance à son passé ?

La domination du plus grand nombre est elle un gage de liberté ?

Peut-on être libres à plusieurs ?

La preuve est-elle le meilleur accès à la vérité ?

Faut-il se connaître soi-même pour bien agir ?

Restreindre nos désirs à nos besoins naturels est ce possible est ce souhaitable ?

Croire et raisonner sont-ils compatibles ?

Les hommes doivent-il sacrifier leur liberté pour être heureux ?

Autrui est-il celui qui menace mon désir ou celui que je désire ?

L'injustice peut-elle être naturelle ?

Faut-il un mode d'emploi pour comprendre une oeuvre d'art ?

Pourquoi l'homme se pose t-il la question du sens de sa vie ?

La rationalité scientifique satisfait elle tous les besoins de la raison ?

la matière peut-elle suffire à expliquer la nature des choses ?

La pensée mythique a-t-elle encore une place, joue-t-elle encore un rôle dans nos sociétés modernes ? Si oui, en quel(s) sens et pourquoi ?

Tout travail est-il servile ?

Le droit est-il fondé sur la nature des choses ou sur la volonté du législateur ?

Comment sait-on que l'on est plus conscient qu'autrui ?

Faut-il considérer la foi comme un esclavage ?

La conscience est- elle une réalité ?

Peut-on croire malgré soi ?

Dans quelle mesure la technique est elle l'application de connaissances théoriques ?

Ce qui donne le plus à penser, c'est ce qu'on ne pense pas encore ?

Tout doit-il vraiment avoir un prix ?

Un mensonge efficace est-il préférable à une vérité angoissante ?

Puis-je savoir si je suis immorale ?

Le temps est-il pour le bonheur obstacle ou condition ?

La politique peut-elle aider le sujet à réaliser son bien ?

Faut-il dire que la réalité détruit le rêve ?

Qu'est ce qui fait l'humanité de la culture ?

Vit-on mieux sans réfléchir ?

y a-t-il des sociétés sans normes ?

Bien réfléchir est ce se méfier de soi-même ?

Y a-t-il un vertige de la liberté ?

lorsque nous réfléchissons est ce que nous travaillons ?

A quelles conditions un être humain peut-il exister ?

Qu'est ce qui rend un objet intéressant ?

Y-a-t-il un risque à faire de la philosophie ?

Qu'est ce qui nous donne l'ordre de penser ?

Y a-t-il une explication rationnelle à tout ?

Est-il vrai que l'oubli du passé est le pire cadeau que l'on puisse faire au présent ?

Quels dangers menacent de l'intérieur les démocraties actuelles ?

Tout objet peut-il être une œuvre d'art ?

Ce qui est matériel seul existe, ce qui est spirituel n'est qu'une illusion ?

L'expérience de l'œuvre d'art modifie-t-elle la vision que nous avons du monde ?

Est-il sensé d'expliquer le réel ?

Sait-on seulement ce qu'on désire ?

L'homme est-il le berger de l'Etre ?

La vie est-elle un mystère ?

Le temps me tue. Qu'en pensez-vous ?

Pourquoi dans nos sociétés la pensée est-elle haïe ?

Le droit limite-t-il ou protège-t-il la liberté ?

Lorsqu'il s'agit de vérité la raison est -elle la seule autorité ?

Dieu existe et le mal existe: ces deux propositions sont-elles contradictoires ?

Peut-on s'opposer aux nouvelles possibilités techniques ?

L'amour d'une chimère est-il le plus fidèle des amours ?

Le désir est-il fondamentalement manque d'être, détresse et souffrance ?

Le pouvoir des mots : mythe ou réalité ?

L'homme est il en règle avec sa conscience tant qu'il n'a fait qu'user de son droit ?

Le désir est-il un facteur de progrès ?

Le sujet est-il une aliénation pour l'homme ?

A quoi bon être bon ?

  la philosophie est elle une doctrine ou un activité ?

Quelle est la différence entre apercevoir et sentir ?

Dois-je devenir ce que je suis ?

A quel désir l'art tente-t-il de répondre ?

N'y a t il que des problèmes scientifiques ?

EST CE EN N'OUBLIANT NOTRE CONSCIENCE QUE NOUS SOMMES CONSCIENT ?

La création artistique peut elle servir de modèle pour définir la liberté ?

L'expérience peut elle servir de fondement à la morale ?

Y a-t-il des preuves irréfutables ?

Doit-on douter de l'image ?

Peut-on être heureux sans être sage, honnête et juste sans être heureux ?

Quelle distinction conceptuelle peut-on faire entre le pardon et l'excuse ?

Jusqu'à quel point la conscience peut-elle être souveraine ?

Pourquoi l'essence échapperait-elle au changement ?

POURQOI PRENDRE LA PEINE DE REFLECHIR ?

La réalité est-elle à ma mesure ?

La coupure entre moi et autrui ne s'éfface t-elle pas par le langage ?

La philosophie cultive t -elle la paix ou la tolérance ?

Peut-on ne pas être matérialiste ?

La liberté est-elle compatible avec le respect d'autrui ?

Peut-on philosopher pour philosopher ?

Que vaut la sentence: la loi rien que la loi ?

En quoi la justice est-elle nécessaire ?

Pouvons-Nous Voir Les Choses Telles Quelles Sont ?

Les hommes n'échangent-ils que ce dont ils ont besoin ?

Est-ce nécessairement faire preuve de gout qu'apprécier une œuvre d'art à sa juste valeur ?

La vie heureuse est-elle sérieuse et appliquée ?

En quel sens peut-on dire que le monde est dans ma conscience ?

Vivre sans travail est-il une utopie ?

La pratique de la science est-elle une école de moralité ?

Est-ce la Culture qui distingue vraiment l'homme de l'animal ?

Faut-il espérer être heureux ?

Peut-on dire que la connaissance scientifique consiste à substituer à la sensibilité de l'homme celle d'un instrument de mesure ?

La science est-elle un prolongement du sens commun ou est-elle en rupture avec lui ?

Lequel vaut mieux : faire le bien involontairement, ou faire le mal en croyant bien faire ?

Sur quoi fonder une communauté politique ?

Peut-on être insensible a la beauté ?

Toutes croyances sont-elles respectables ?

La pornographie est-elle immorale ?

Tout mensonge est-il tromperie ?

Quelle valeur donner au débat démocratique ?

Faut-il avoir peur ?

Peut-on admettre l'idée d'un déterminisme historique ?

La liberté de penser est-elle un idéal inaccessible ?

Le machinisme est il un obstacle au développement de la culture ?

Les valeurs sociales modifient elles la vie sociale ?

Qui doit diriger la cité ?

Peut-on penser sans parler ?

Faut-il avec Kant rejeter la liberté dans le monde nouménal, alors que le déterminisme régnerait dans le monde phénoménal ?

Y a-t-il des degrés dans la liberté morale ?

L'animal est-il capable d'expérience et de progrès ?

COMMENT ET POURQUOI PENSONS-NOUS L'ABSOLU ?

POUVONS-NOUS PENSER L'ABSOLU ?

A quoi sert le travail ?

La distraction ?

Est-il vrai que la réflexion nuit à l'action ?

Peut-on dire avec Bossuet que l'amour est le principe unique et dernier de toutes les passions ?

D'après la nature du plaisir, quelle idée vous faites-vous du bonheur ?

Que me faut-il pour être heureux ?

Quels sont les caractères de la certitude philosophique ?

La philosophie n'est-elle qu'une systématisation des sciences ?

La science a-t-elle pour fin de garantir notre action sur la matière ?

Expliquez cette assertion d'Aristote : Il n'y a pas de science du particulier : il n'y a de science que du général ?

Peut-on réduire la morale aux mœurs ?

Le progrès de la science peut-il faire oublier la philosophie ?

Le luxe est-il nécessaire ?

Puis-je me faire justice moi-même ?

Le travail rend-il riche ?

La technique peut elle donner lieu à des productions originales ?

Le merveilleux ?

Les hommes doivent-ils sacrifier leur liberté pour être heureux ?

La science échoue-t-elle à connaître le vivant ?

Le mythe est-il une illusion ou une utopie ?

La science a-t-elle pour fin de garantir notre action sur la matière ?

Pourquoi la perception commune est-elle un obstacle a la perception artistique ?

Une vie peut-elle avoir plus de valeur qu'une autre ?

La culture est ce qui rend les hommes à la fois semblables et différents ?

Est- il contradictoire d'affirmer qu'il faut contraindre pour libérer ?

La douleur des autres doit-elle avoir un sens pour moi ?

Choisit-on ses désirs ?

Peut-on concevoir une société sans violence ?

Suffit-il de raisonner pour être débarrasser de ses illusions ?

Peut-on exclure la foi de la raison ?

Suis je libre de tous mes actes ?

Laction politique est-elle un travail ?

La tradition est-elle synonyme de régression ?

Peut-on se perdre dans un travail ?

Un bonheur total est-il concevable ?

La sévérité vous semble-t-elle nécessaire à une bonne éducation ?

Pour être heureux, dois-je ne pas penser à la mort ?

A quoi servent les religions ?

Une existence sans croyances est-elle possible ?

Les sciences expérimentales sont-elles des sciences exactes ?

Les sciences peuvent-elles avoir des préjugés ?

Peut-on dire que la science manipule les choses et renonce à les habiter ?

Puis-je désirer avoir l'embarras du choix ?

Le progrès technique rend-il la croyance inutile ?

Peut-on réduire le devoir à une obligation morale ?

Une machine peut-elle savoir ou avoir des connaissances ?

Faut-il faire de la philosophie un travail ?

Que vaut la sentence la loi rien que la loi ?

Est-il nécessaire de se connaitre pour être maître de soi ?

Peut-on parler de culture au singulier ou de cultures au pluriel ?

La philosophie peut- elle cultivée la paix dans ce monde ?

De tout ce que je suis ou ce que je possède, que puis-je considérer comme véritablement à moi ?

La politique est une chose trop sérieuse pour la confier aux seuls politiques ?

Les religions rassemblent-elles ou éloignent-elles les hommes ?

La violence est elle au cœur de la politique ?

Un bonheur total est-il concevable ?

La science obéit-elle majoritairement à un marché ?

Est - il juste que le gouvernement ait tous les droits ?

Pensez-vous que la représentation culturelle de la violence puisse inciter à adopter un comportement violent dans la vie réelle ?

Quel avantage y a-t-il à se croire libre ?

Pourquoi la liberté est-elle rare ?

DEMANDE D'UN CORRIGE ORIGINAL

Les moratoires sont-ils souhaitables ?

Dans quelle mesure le caractère encyclopédique de la philosophie peut constituer un obstacle à son apprentissage ?

Suffit-il de ne pas souffrir pour être heureux ?

En quoi la philosophie est elle la mère des sciences ?

Qu'est-ce que le Moi ?

« Dans Du Contrat social, Rousseau écrit : L'homme est né libre, et partout il est dans les fers'. Qu'en pensez-vous? » ?

Ai-je raison de désirer ?

Peut-on satisfaire le désir par l'imagination ?

Doit-on considérer autrui à notre image ?

Est-ce que je désire autrui pour sa différence ?

Mes yeux me trompent-ils ?

La valeur morale d'une action tient-elle à son caractère rationnel ?

La diversité des opinions morales est-elle une justification suffisante du scepticisme moral ?

Les sentiments naturels de l'homme sont-ils pour la moralité un auxiliaire ou un obstacle ?

La responsabilité morale ne s'attache-t-elle qu'à l'intention ?

Pour être moral, suffit-il d'avoir le courage de rester d'accord avec soi-même ?

Donnez les bases d'une morale de la dignité humaine ?

Les catégories du langage et de la grammaire correspondent-elles à celles de la pensée ?

Est-il vrai que le contenu de notre conscience psychologique se ramène soit à des faits physiologiques, soit à des faits sociaux ?

De quoi y a-t-il histoire ?

La philosophie tire-t-elle sa valeur de son incertitude même ?

Autrui m'est-il indispensable ?

Peut-on transgresser une loi ?

L'autorité est-elle nécessaire à la société ou non ?

Y a-t-il une vérité religieuse ?

Pourquoi n'y a-t-il pas une langue mais plusieurs ?

Faut-il faire de la politique ?

La contradiction est-elle une condition de vie et de progrès de la religion ?

La loi peut-elle changer les hommes ?

Comment la culture est-elle transmise ?

Une conscience peut-elle être totale ?

Qu'a- t-on le droit d'attendre de l'ordre social ?

Avons-nous le droit de nous désintéressé de la politique ?

Peut-on parler sans s'engager ?

La recherche des biens matériels prive-t-elle de la liberté ?

Comment provoquer une conscience chez linconscient ?

Lhumour est-il la politesse du désespoir ?

La question de la légitimité du pouvoir a-t-elle un sens ?

Y a-t-il plusieurs vérités ?

peut-on ne rien désirer ?

Etre humain est-ce être humain ?

La politique doit-elle être juste ?

Peut-on rendre compte des choses avec les mots ?

"Pourquoi la loi est elle nécessaire à la liberté Pourquoi la loi est-elle nécessaire à la liberté ?

Dieu sonde les reins et les cœurs ?

Le mal c'est le silence des gens de bien, expliquez ?

Qu'est-ce que l'expérience de la vie ?

En quoi la liberté est-elle une chance et un drame pour l'homme ?

Peut-on vouloir être libre sans en accepter les conséquences ?

Le philosophe doit-il se détacher de la matière ?

La philosophie doit-elle se détacher de la matière ?

Le mythe permet-il de nous connaître ?

L’imagination s'oppose-t-elle à l'esprit scientifique ?

La réflexion est-elle dangereuse ?

Le « je » est-il un autre ?

Peut-on travailler sans être esclave ?

La vérité peut-elle ne pas être unanime ?

N'importe qui est-il à même de juger de ce qui est beau ?

La connaissance peut-elle être une fin en soi ?

Les hommes ne sont ils que des machines ?

Comment contraindre les dirigeants politiques au respect des lois ?

Le corps, la prison de l'âme ?

Dans quelle mesure la liberté religieuse est-elle une liberté fondamentale ?

Devons-nous aimer ?

L'affirmation de la liberté peut elle se concilier avec le déterminisme de la nature ?

Interpréter est-ce dénaturer le réel ?

De quoi la raison nous libère-t-elle ?

IMAGINATION ET METAPHYSIQUE ?

QUELLES SONT LES LIMITES DE l'ACTION ?

Faisons-nous l'histoire ? Sommes-nous les acteurs de l'histoire ?

LE PARADOXE ?

Athéisme marque de force d'esprit mais jusqu'à un certain point ?

La science est-elle un luxe ?

Science et religions sont-elles compatibles ?

La sublimation au travail est-elle possible ?

Une interprétation peut elle être fausse ?

Pourquoi faut-il faire son devoir ?

A quelle(s) condition(s) la justice peut être sans passion ?

L'utopie n'est elle que l'envers de l'histoire ?

La curiosité est elle un obstacle à la vérité ?

Peut-on être en vacances ?

Le bonheur dépend-il de notre volonté ou des circonstances extérieures ?

Existe-il de petites atteintes à la personnalité ?

Etre juste est-ce répondre à la loi ?

A quoi servent les preuves ?

  La liberté consiste-t-elle a ne pas nuire à autrui ?

Pourquoi l'homme ne peut-il pas vivre sans technique ?

N'importe qui est-il à même de juger de ce qui est beau ?

Peut-on se comprendre sans parler ?

La libération de l'homme à l'égard de la nature passe-t-elle nécessairement par sa domination technique ?

Y-a-t-il des censures légitimes ?

Les jouissances matérielles suffisent-elles au bonheur ?

Dans sa quête de la vérité, l'homme doit-il apprendre à s'effacer ?

Si l'histoire ne se répète pas , à quoi bon connaitre le passé ?

La société est-elle synonyme de soumission ?

EN QUOI LE FONDAMENTALISME CHRETIEN DANS SON RETOUR AUX RELIGIEUX EST-IL EN DESHARMONIE AVEC LA SOCIETE MODERNE ?

A quoi ca sert de vivre ?

Pourquoi faut-il penser l'art ?

L'usage de la raison consiste-t-il seulement à discerner le vrai et le faux ?

Peut-on expliquer une croyance religieuse sans la détruire ?

Faire preuve de raison est-ce renoncer à ses désirs ?

Les Sciences Peuvent-elles Nous Eclairer Sur le Bien et le Mal ?

Comment chercher a sortir du cercle des apparences ?

Gagnons-nous à être malhonnêtes ?

Les autres peuvent-ils nous aider à être heureux ?

Les sciences nous rendent-elles maîtres de notre destin ?

Peut-on définir l'action politique comme étant l'art de jouer avec les apparences ?

Faut-il chercher à oublier la mort ?

La conscience est-elle condition de tout connaissance ?

Aimer est ce naturel ?

Pourquoi on aime ?

Philosopher est-ce penser pour soi-même; penser avec les autres ou penser contre les autres ?

Qui décide de la valeur de l'art ?

Pouvons-nous connaître sans raisonner ?

L'action politique peut-elle trouver son sens et sa justification dans l'histoire ?

Les Hommes peuvent-ils se diriger seuls ?

Les politiciens ont ils un droit de regard sur la moralité des citoyens ?

Peut-on disputer du goût ?

Faut-il chercher à rendre le travail attrayant ?

L'Art est-il une vengeance à l'idée de vérité ?

La recherche de l'égalité a-t-elle des limites ?

La recherche du bonheur peut-elle compromettre notre liberté ?

La technique peut elle nous aider dans l'apprentissage des connaissances ?

La morale peut- elle être athée ?

L'homme est-il dépendant du langage ?

La science est elle notre nouvelle religion ?

La richesse est-elle source de bonheur ?

Le mythe est-il un autre de la raison ?

Peut-on établir une hiérarchie des sciences ?

Y a-t-il une inquiétude proprement philosophique ?

Considérez-vous, l'ambition comme une qualité ?

Le temps que l'on perd disparaît-il pour toujours ?

Dans quelle mesure a-t-on besoin des autres pour s'accomplir ?

Le bonheur peut il s'atteindre dans le repos ?

Le bonheur est-il seulement l'absence de souffrance? ?

Le rationnel suffit-il comme critère de vérité scientifique ?

Les circonstances de la vie conditionnent-elles la liberté ?

Un scientifique peut-il être adepte à une religion ?

La connaissance scientifique est-elle axiologiquement neutre ?

Faut-il redouter la loi ?

Pourquoi la misère est-elle plus particulièrement  inacceptable quand elle touche les enfants ?

Sommes-nous aliénés ?

Faut-il dire avec Sartre que l'homme n'a pas de nature mais qu'il a ou plutôt qu'il est son histoire ?

A quelles conditions une expérience est-elle utile ?

Dans une démocratie, les citoyens majeurs sont-ils tous compétents pour élire un gouvernement ?

La rencontre d'autrui n'a-t-elle qu'un sens social ?

Faut-il à tout prix chercher une utilité sociale des mesures du droit ?

« c'est dans son incertitude même que réside largement la valeur de la philosophie... » (Russell). Qu'en pensez-vous ?

La croyance nous éloigne-t-elle de la vérité ?

Est-il possible d'aimer l'autre telle qu'il est ?

L'inconscient n'est-il qu'un moindre degré de conscience ?

Les intérêts de l'Etat justifient-ils le recours à des moyens immoraux ?

Considérez vous l'ambition comme une qualité ?

La philosophie s'éloigne-t-elle du naturel ?

L'Art est-il une vengeance à l'idée de vérité ?

Suffit-il de savoir pour philosopher ?

Faut-il craindre la domination sans limite de la rationalité scientifique ?

Peut-on juger un Etat ?

Les connaissances scientifiques sont-elles infaillibles ?

Le commerce et la morale sont-ils compatibles ?

Peut-on faire confiance aux medias ?

La vie en communauté met-elle en péril la personnalité de chacun ?

Faut-il opposer le travail et le bonheur ?

Le discours (le dialogue) peut-il abolir toute violence ?

Ernest Renan (1823-1892) affirme que le développement de la science mettra fin à la barbarie. Qu'en pensez-vous ?

Plan de dissertation : Suis-je pour moi-même un étranger ?

La connaissance du réel est-elle une connaissance de la vérité ?

La science permet-elle de tout savoir ?

Les divers sens du mot culture peuvent-ils être ramenés à l'unité ?

L'action requiert-elle décision d'un sujet ?

Le mythe est il gros de sens ?

La science permet-elle de tout savoir ?

Pourquoi le mal est-il sans pourquoi ?

Doit-on toujours croire ?

Les sciences et les techniques contribuent-elles au progrès ?

Dire la vérité est-ce un devoir ?

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