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LA GUERRE
Au sens le plus immédiat, elle est partie liée à la violence et renvoie à des comportements et à des actions physiques et matériels. Elle consiste dans l'emploi de moyens de destruction d'un groupe à l'égard d'un autre groupe, avec les dommages que cela entraîne. Elle suppose un casus belli ou une déclaration préalable, plus ou moins explicite, ce qui pose le problème de la différence entre le simple rapport de force sans affrontement direct (cf. guerre froide), l'intervention de forces armées sans guerre proclamée selon le droit des gens(cf. Guerilla, terrorisme, ingérence humanitaire) et la guerre ouverte et caractérisée. A strictement parler, il ne peut y avoir de guerre, sinon en un sens métaphorique entre 2 individus : il n'y a véritablement guerre qu'entre 2 institutions distinctes.
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LE LIBERALISME
Ce que l'on qualifie de libéralisme aujourd'hui, et qui fait l'objet de bien des critiques, n'a que très peu à voir avec le libéralisme philosophique voire économique. Il s'agit plutôt d'un avatar caricatural qu'aurait sans doute désavoué les fondateurs du libéralisme (cf. Adam Smith).
Il est vrai que le libéralisme se définit d'abord comme une doctrine économique qui se donne le marché pour seul fondement et fait une confiance quasi totale -l'Etat n'étant là que pour réguler le système et intervenir en cas de problème- à l'initiative individuelle et à la libre concurrence. Mais c'est oublier la dimension politique et éthique du mouvement : la valeur fondamentale reste l'individu et il est consubstantielle à la démocratie.
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A destination des plus courageux. Utiliser Zénon, Bergson et encore mieux, la physique contemporaine.
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l'art pour l'art peut être beau mais l'art pour le progrès est plus beau encore" affirme Victor HUGO. Pensez-vous que les philosophes des Lumières partageaient cette opinion qui veut que l'art soit utile ?
